Presidential Election in France
And here is a link to the full broadcast of RIPOSTES on FRANCE 5 last Sunday evening with intellectuals discussing the campaign and giving their opinions on the candidates.
For The Enlightenment, against the powers of darkness and unreason, information as a tool against all forms of fanaticism, to promote human and civil rights everywhere, freedom in all forms, and justice for all !
And here is a link to the full broadcast of RIPOSTES on FRANCE 5 last Sunday evening with intellectuals discussing the campaign and giving their opinions on the candidates.
In support of those supporting Ségolène Royal for the Presidency of France in the election in April this year, I am reprinting here the appeal of 150 intellectuals, writers, artists, filmmakers, actors, dramatists, musicians, philosophers, etc. from Nouvel Obserateur for votes for this candidate of the left against her imperialistic, chauvinistic, fear-mongering opponent on the right.
Le texte de l'appel:
"Le 22 avril, il sera trop tard. Trop tard pour déplorer notre dispersion. Trop tard pour regretter notre inaction. Trop tard pour s’apercevoir que l’élection présidentielle s’est faite sans nous, malgré nous.
Nous refusons cette défaite trop souvent annoncée. Nous n’admettons pas que l’on vote à notre place. Nous n’acceptons pas que des sondages fabriquent une élection. Et nous ne tomberons pas dans le piège tendu par cette droite qui domine ou influence la plupart de nos grands médias. Car tout est fait, dans cette campagne, pour démobiliser la gauche et désespérer ses électeurs. Rien n’est épargné à Ségolène Royal. Ses déclarations comme ses silences, son entourage comme son compagnon, sa simplicité comme sa franchise, sa féminité comme sa fermeté : tout est prétexte en face à caricature et à moquerie. Tout est bon pour alimenter le mépris social et le dédain sexiste.
Qu’elle prenne le temps d’écouter les Français, et on la soupçonne de n’avoir rien à dire. Qu’elle annonce longuement son pacte présidentiel, et la question du chiffrage vient opportunément occulter le détail de ses engagements. Qu’elle-même ou son entourage soient victimes de procédés de basse police, et on préfère retenir l’air de la calomnie plutôt que de s’alarmer pour la démocratie. Qu’elle assume son identité de socialiste, et on lui reproche de se plier à un appareil. Qu’elle revendique sa part de liberté, et on l’accuse de se méfier de sa famille. Qu’elle réussisse un meeting électoral ou une émission télévisée, et on lui oppose immédiatement des enquêtes d’opinion aussi fluctuantes qu’incertaines.
Nous ne nous laisserons pas intimider. Dès le premier tour, nous voterons pour Ségolène Royal et nous appelons à faire de même, à le faire savoir et à faire campagne. Car nous voulons que, cette fois, la gauche gagne. Nous parions sur cette gauche plus exigeante avec elle-même et plus à l’écoute des siens, qui a appris de ses échecs, de ses illusions et de ses divisions, une gauche ambitieuse et audacieuse. Et nous savons que ce n’est pas n’importe quelle droite qui risque de l’emporter.
Jamais candidat de droite n’aura à ce point symbolisé la régression sociale. Nicolas Sarkozy est, tout à la fois, le candidat du pouvoir financier, du pouvoir personnel et du désordre mondial. Soutenu par la nouvelle aristocratie financière, il incarne la soumission de la politique à l’argent. Favorable à un renforcement des pouvoirs présidentiels, il incarne la tentation du césarisme contre l’approfondissement de la démocratie. Engagé aux côtés de l’actuelle administration américaine, il incarne le risque des aventures impériales, du choc des cultures et de l’affrontement des peuples. C’est le candidat de la peur. Des peurs qu’il exploite – celles de l’avenir, du
monde, de l’étranger, des jeunes – mais aussi des peurs qu’il inspire en convoquant l’imaginaire de l’homme fort, du chef vindicatif et exalté, épris du pouvoir et de lui-même.
Contre ce danger, Ségolène Royal est la candidate de l’espérance. Elle l’a fait naître en défendant une démocratie participative où les citoyens sont reconnus experts de leurs problèmes. Une espérance à la fois sociale et écologique, éthique et démocratique, française et européenne, ne sacrifiant pas les conditions de vie et de travail à la modernisation économique. L’espérance d’une république nouvelle, rompant avec un présidentialisme étouffant pour un parlementarisme vivant. L’espérance d’une démocratie qui ne se réduirait plus à un pouvoir personnel, avec ses courtisaneries, ses impunités et ses privilèges. L’espérance d’une France enfin réconciliée avec son peuple, ses quartiers, ses travailleurs et sa jeunesse dans sa diversité.
Mais l’indifférence peut tuer l’espérance. Depuis 2002, nous sommes prévenus, et nous n’avons plus d’excuse. Nous savons que cette élection sera ce que nous en ferons. Il n’est plus temps de se faire plaisir, en perdant de vue l’enjeu décisif. Nous affirmons qu’il n’est de soutien entier que critique, de loyauté que lucide, de solidarité qu’indépendante, et nous resterons fidèles à cet engagement. Nous disons aussi que le second tour se joue dès le premier tour.
Cette élection n’est pas ordinaire et elle engage, à travers le sort de la France, un peu de l’avenir du monde. C’est pourquoi, contre une droite d’arrogance, nous appelons à choisir, dès le 22 avril, une gauche d’espérance, en votant Ségolène Royal."
La liste des signataires:
Marc Abélès, anthropologue. Laure Adler, journaliste. Elisabeth Alles, anthropologue. Paul Allies, politiste. Mathieu Arnoux, historien. Pierre Arnoux, mathématicien. Jacques Audiard, réalisateur. Jean-Pierre Azéma, historien. Muriel Badet, historienne de l’art. Sébastien Balibar, physicien. Nicolas Bancel, historien. François Barat, cinéaste. Michel Barak, historien. Dominique Barella, magistrat. Christian Baudelot, sociologue. Anna Bellavitis, historienne. Yehezkel Ben-Ari, biologiste. Samuel Benchetrit, écrivain. Michel Bénichou, avocat. Carmen Bernand, anthropologue. Arno Bertina, écrivaine. Dominique Besnehard, producteur. Philippe Besson, écrivain. Didier Bezace, metteur en scène. Sylvie Blocher, artiste. Bernard Bobe, chimiste. Mikkel Borch-Jacobsen, philosophe. Daniel Bougnoux, philosophe. Seloua Luste Boulbina, philosophe. Jean-Claude Bourbault, comédien. William Bourdon, avocat. Jean-Pierre Brigaudiot, plasticien. Geneviève Brisac, écrivaine-éditrice. Michel Broué, mathématicien. André Burguière, historien. Marilyne Canto, cinéaste. Pierre Cartier, mathématicien. Claude Chambard, écrivain. Marc Chaperon, mathématicien. Noëlle Châtelet, écrivaine. Monique Chemillier-Gendreau, juriste. Patrice Chéreau, metteur en scène. Jean-Claude Chevallier, linguiste. Hélène Cixous, écrivain. Olivier Cohen, éditeur. Annie Cohen, écrivaine. Catherine Corsini, réalisatrice. Marie Coulais , éditrice de musique. Marlène Coullomb, universitaire. Pierre-Louis Curien, mathématicien-informaticien. Paule Darmon, écrivaine. Robert Delpire, éditeur. Erwan Diantelli, anthropologue. François Dubet, sociologue. Jean-Michel Ducomte, avocat. Alain Ehrenberg, sociologue. Bernard Faivre d’Arcier. Betty Felenbok, biologiste. Marc Ferro, historien. Cynthia Fleury, philosophe. Alain Forest, historien. Antoinette Fouque, psychanalyste. Anne-Marie Garat, écrivaine. Françoise Gaspard, sociologue. Jean-Pierre Gattegno, écrivain. Marie-France Giret, pianiste. Maurice Godelier, anthropologue. Anouk Grinberg, comédienne. Martial Guédron, historien de l’art. Jean Guiloineau, écrivain-traducteur. Gérard Haller, écrivain. Karen Hansen, artiste. Alain Hélissen, écrivain-chroniqueur. Françoise Héritier, anthropologue. Denis Herlin, musicologue. Serge Jakobowicz. Jean Jamin, anthropologue. Catherine Jeandel, géochimiste. Louis Joinet, magistrat. Pierre Joliot, biologiste. Geneviève Joutard, historienne. Philippe Joutard, historien. Jean Kehayan, journaliste. Jacques Julliard, historien. Christiane Klapisch-Zuber, historienne. Julia Kristeva, universitaire-psychanalyste. Jean Labib, producteur. Guy Lacour, universitaire.Nicole Lapierre, sociologue. Françoise Lavocat, littérature comparée. Armelle Le Bras-Chopard, politologue. Michèle Leduc, physicienne. Jean-Paul Lévy, avocat. Jean-Marc Lévy-Leblond, physicien. Daniel Lindenberg, historien. Dyssia Loubatière, assistante à la mise en scène. Michèle Manceaux, écrivain-journaliste. Frédéric Martel, sociologue. François Marthouret, comédien. Mireille Martin, mathématicienne. Dominique Méda, philosophe. Khaled Melhaa, journaliste-producteur. Eric Michaud, historien de l'art. Yves Michaud, philosophe. Jean-Pierre Mignard, avocat. Philippe Minard, historien. Ariane Mnouchkine, metteur en scène. Sarah Moon, photographe. Jean-Paul Moreigne, psychiatre-psychanalyste. Janine Mossuz-Lavau, politologue. El Mouhoub Mouhoud, économiste. Bernard Murat, directeur de théâtre. Roland Nadaus, écrivain. Véronique Nahoum-Grappe, anthropologue. Pap Ndiaye, historien. Monique Nemer, écrivaine-éditrice. Alain Omont, astrophysicien. Alfredo Pena Vega, sociologue. Michel Piccoli, comédien. Martyne Perrot, sociologue. Michelle Perrot, historienne. Thomas Piketty, économiste. Etienne Pion, président d’un mouvement laïque. Evelyne Pisier, juriste. Emmanuel Poisson, historien. Christophe Prochasson, historien. Pierre Raterron, artiste-auteur. Elisabeth Roudinesco, historienne-psychanalyste. Roland Rappaport, avocat. Yannick Ripa, historienne. Joël Roman, philosophe-éditeur. Jean-Paul Scarpitta , metteur en scène. Leïla Sebbar , écrivain. Claude Servan-Schreiber, écrivaine. Fabienne Servan-Schreiber, productrice. Emmanuelle Sibeud, historienne. Philippe Sollers, écrivain. Maria Stavrinaki, historienne. Benjamin Stora, historien. Martine Storti, écrivaine. Irène Théry, sociologue. Pierre Tambourin, biologiste. Philippe Torreton, comédien. Pierre Tournier, historien. Jacques Treiner, physicien. Lucette Valensi, historienne. Agnès Verlet, écrivaine. Daniel Vigne, metteur en scène. Jean Viard, sociologue-éditeur. Fabienne Vonier, productrice-distributrice. Emmanuel Wallon, sociologue. Catherine Weinzaepflen, écrivain.
New York Times
Editorial
Al Qaeda Resurgent
Published: February 25, 2007
Despite years of costly warfare in Afghanistan and Iraq, America today is not significantly closer to taking down the command structure of Al Qaeda.
International / Asia Pacific
Terror Officials See Al Qaeda Chiefs Regaining Power
By MARK MAZZETTI and DAVID ROHDE
Published: February 19, 2007
American officials say Al Qaeda has re-established significant control over its once battered worldwide terror network.
Labels: playpen
Bushbabied at the airport, the Page pined in the penalty box for hours on the way from Court back home, finally arriving 8 hours later than planned, his suitcase hanging at some of the various airports somewhere on his presidentially altered route.
FRANKLINTON, N.C. - President George W. Bush arrived by helicopter in rural North Carolina Thursday morning, landing amid cornfields - a fitting setting for his ensuing talk on his new energy initiatives. [The Chronicle, The Independent Daily at Duke University, By Victoria Ward, 2/23/07, News Section]
New York Times:
Editorial
American Liberty at the Precipice
Published: February 22, 2007
Congress and the Supreme Court should act quickly and forcefully to undo the grievous damage that the Military Commissions Act has done to the basic freedom of habeas corpus.
Labels: countess
Given this decision, there remains only the hope that the Supreme Court upholds the Constitution and principles of justice, or otherwise that the US contempt of justice be overturned by the International Court in the Hague!A divided judicial panel ruled this morning that hundreds of foreign nationals detained for as long as five years at a military prison in Guantanamo Bay, Cuba, do not have rights to challenge their indefinite imprisonment through the U.S. court system.
HISTORIANS TAKE A STAND
[excerpt below, full text via link above]
Whereas during the war in Iraq and the so-called war on terror, the current Administration
has violated the above-mentioned standards and principles through the following practices:
- excluding well-recognized foreign scholars;
- condemning as "revisionism" the search for truth about pre-war intelligence;
- reclassifying previously unclassified government documents;
- suspending in certain cases the centuries-old writ of habeas corpus and substituting indefinite administrative detention without specified criminal charges or access to a court of law;
- using interrogation techniques at Guantánamo, Abu Ghraib, Bagram, and other locations incompatible with respect for the dignity of all persons required by a civilized society;
Whereas a free society and the unfettered intellectual inquiry essential to the practice of historical research, writing, and teaching are imperiled by the practices described above;
and
Whereas the foregoing practices are inextricably linked to the war in which the United States is presently engaged in Iraq; now, therefore, be it
Resolved, that the American Historical Association urges its members through publication of this resolution in Perspectives and other appropriate outlets:
- to take a public stand as citizens on behalf of the values necessary to the practice of our profession; and
- to do whatever they can to bring the Iraq war to a speedy conclusion.
Labels: countess
Sokrates und Alcibiades
»Warum huldigest du, heiliger Sokrates,
Diesem Jünglinge stets? kennest du Größers nicht?
Warum siehet mit Liebe,
Wie auf Götter, dein Aug' auf ihn?«
Wer das Tiefste gedacht, liebt das Lebendigste,
Hohe Jugend versteht, wer in die Welt geblickt,
Und es neigen die Weisen
Oft am Ende zu Schönem sich.
-Hölderlin
Labels: Heidegger
Here a picture of a banana pudding not quite as luscious as the one of which two-thirds remain on the Countess' table.
Labels: countess
Labels: countess
Against the playpen and the bushbaby, the House of Representatives today finally passed a non-binding resolution against playpenal policy in Iraq, against increasing the number of troops there, and for a plan for disengagement and returning the country to its own hands.
The vote was
246 for and 182 against the resolution
17 Republicans abandonned the playpen to vote for the resolution, while two Democrats picked up baby rattles to join the dirty-diapered in the bushbaby's pen.
This link is to the record of the roll-call vote.
Labels: playpen
Tod ist Übereignung in das Eigenste der Wahrheit des Seins.
Labels: Heidegger
Labels: playpen
Follow the link to yesterday's broadcast with an important discussion on the necessity not only to protect liberty of speech, expression, press, but to use them, to satirize, to blaspheme, all in order to ensure that all opinions are free to compete in this wildly crazy world in the hopes of thought prevailing!
Ce soir ou jamais France 3
L’émission du mardi 13 février 2007
Revue d’actualité
Invités : Philippe Sollers, Raphaël Enthoven, Alejandro Jodorowski, Abdennour Bidar, Houria Bouteldja, Axiom, Catherine Clément
Penseurs, écrivains et artistes aux points de vue libres et assumés commentent les sujets qui sont au cœur de l’actualité.
Au sommaire de ce soir :
Le procès des caricatures de Charlie Hebdo. [min. ca 9-41 on the wmediaplayer screen]
…
Labels: freely speaking
Hospice returned to finalize all arrangements with the Countess and her Court yesterday, while she, though complaining of unusual headaches, regaled them with courtly tales - from the bawdy to the banal - and confessed to having developed an aversion to chocolate.
Asking if naps were appropriate, she was again told that she should acquiesce in the demands her body places on her, recline, and let her courtiers retreat upon seeing her at rest, or be fended off by Lady-In-Waiting or Page as appropriate.
And the one who offered to cut her air would do better to appear soon, preferably before the next dinner offering is brought this evening.
Labels: countess
Labels: countess
This is A Cartoon, a cartoon by Mr. Fish, published Friday, February 9, 2007. It is part of The Cartoons of Mr. Fish: a Selection, which is part of Features, which is part of Harpers.org.
Labels: playpen
Labels: countess
Today the French prosecutor requested the course to dismiss the case since the cartoons were no vilification of a race or religion, but satire about ideas subject to debate. More detailed info in English, excerpt below, is available from Reporters Without Borders through the link.
Reporters sans frontières - France:
Reporters Without Borders voiced “unconditional support” today for the French satirical weekly Charlie Hebdo , which goes on trial in Paris tomorrow in a civil lawsuit by the Grand Mosque of Paris and the Union of Islamic Organisations of France. It is accused of deliberately trying to hurt Muslims “in their collective attachment to their beliefs” by publishing cartoons of the Prophet Mohammed in a special issue a year ago.Here is a link to Nouvel Observateur's report with a petition in support of Charlie Hebdo and freedom of speech in general. Link it and sign it and pass it on: Signer la pétition!
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Lors d'une conférence de presse mardi 6 février, les responsables de Charlie Hebdo ont dénoncé un "procès médiéval". Philippe Val a expliqué que les dessins mis en cause n'avaient pas pour objectif "d'attaquer les musulmans" mais "d'attaquer les terroristes". "Si on n'a plus le droit de faire la satire de l'idéologie terroriste, qu'est-ce qu'il restera au simple citoyen pour se défendre s'il n'a même plus le rire pour vaincre ses peurs ?"
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The Countess is loosening up with her courtiers, while still reminding them that "the twinkling star you see's gonna be me fussin' with you if you don't do right cause I'm gonna be watchin' the whole time," and, doing so, some of those courtiers are getting a great gift: clear expressed warm evidence of the loving feelings the Countess has for them. She's sharing with them, good time, wit and stories, and finally letting two kids from that court and their father Prince get some material for fond memories of her, not only elephants and baubles.
(Not of course even necessary to mention is that the Countess has usurped the affection of everyone engaged in Ducal service. Should that Duke have her around much longer, those subjects would defect entirely to the Court of The Countess of the Chicora Chicks!)
But she's headed back to her Chicora Court today, "gonna take care of business" as she puts it. And she's doing it right so far!
Let all aware of her court wish the Countess the strength to keep right on with this dazzling phase of her reign. She seems to be grasping, if it's coming to an end, she must take pains to ensure positive mention in the chronicles of that court and its courtiers. She's doing her best.
Und es bricht mir das Herz! Es muß ihr so sehr schmerzen... Und sie hat auch große Angst vor den leider ganz sicher kommenden physischen Schmerzen.
Sowenig Qual wie möglich soll sie haben.
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Simon Tisdall: Bush 'spoiling for a fight' with Iran
in Guardian daily comment, Guardian Unlimited
The above gives the British/European sense of the latest bushbaby playpen danger facing the world, a prospect, which if realized, will render all our lives LESS secure and foment MORE terrorism and INCREASE support for fundamentalists while again diminishing any belief among those people we need so desperately to enlighten that rights and justice are of any importance to the US or its friends.
And here is the cogent view Auntie Times has on the issue, also frightened as hell:
Bullying Iran
As ever, the one tactic the administration is refusing to consider is diplomacy. Mr. Bush has resisted calls to convene a meeting of Iraq’s neighbors to discuss ways to contain the crisis. There is no guarantee that Mr. Ahmadinejad can be persuaded that Iraq’s further implosion is not in Iran’s interest. But others in Tehran may have clearer heads. And any hope of driving a wedge between Iran and Syria will have to start by giving Damascus hope that there is a way in from the cold.
Mr. Bush’s bullying may play well to his ever shrinking base. But his disastrous war in Iraq has done so much damage to America’s credibility — and so strained its resources— that it no longer frightens America’s enemies. The only ones really frightened are Americans and America’s friends.
Labels: playpen
Le procès de Charlie Hebdo aura lieu au Tribunal de grande instance de Paris le 7 février à partir de 9h00 et le lendemain 8 février à partir de 14h à la 17ème chambre. Il est d’une extrême importance.
Charlie Hebdo est poursuivi par la Mosquée de Paris, l’UOIF la Ligue islamique mondiale (qui diffuse l’islam wahhabite en provenance d’Arabie Saoudite) pour « injures publiques à l’égard d’un groupe de personnes à raison de leur religion ».
Deux dessins sont visés : celui montrant Mahomet avec une bombe dans son turban, mais aussi celui où Mahomet freine un groupe de kamikazes par cette annonce : « Stop, on n’a plus de vierges en stock. »
La couverture du numéro, où Cabu représente un Mahomet « débordé par les intégristes » et qui les désavoue (« C’est dur d’être aimé par des cons ») est également poursuivie pour « injures », alors qu’elle visait justement à montrer un Mahomet se désolidarisant des extrémistes.
mercredi 31 janvier 2007
© www.prochoix.org
Labels: freely speaking
On my way to the Countess to spend with her a little of what time she still has left, I will probably collapse once I finally get into the plane tomorrow after completing all organization this side.
Sure wasn't counting on what's facing the Countess now, but I know that she was also the last, die mit sowas gerechnet hätte. Non posso piú. C'est pas du tout la fin prévue pour cette contesse!
The Chicks of Chicora Court should be a help, as will all those friends and family who I trust will appear.
Zumindest weiß ich, daß meine Schwester und ihre Familie mich auch empfangen werden, wie ich die Gräfin aufsuche.
Labels: countess